Directeur d’école surprise en activité obscène avec seringue et sextoys à Levallois!
Scandale à l’Institut Catholique de Levallois
Dans la banlieue parisienne de Levallois-Perret, un scandale a éclaboussé une école catholique locale, suite à l’arrestation de son directeur pour comportement obscène et possession de drogues. L’homme a été découvert dans l’enceinte de l’établissement tard dans la nuit, se livrant à des actes obscènes.
La police a déclaré avoir été appelée sur les lieux suite à un appel anonyme signalant une activité suspecte dans la cour de l’école. Sur place, ils ont découvert le directeur en train de se masturber. Parallèlement à cette conduite inappropriée, l’homme était en possession d’une seringue et de plusieurs sextoys.
Le directeur avoue la consommation de drogues
Arrêté sur-le-champ par les forces de l’ordre, le directeur a avoué avoir consommé de la 3-MMC, une substance chimique psychoactive couramment classée parmi les nouvelles substances psychoactives (NSP) ou drogues de synthèse. Selon ses déclarations, il venait de s’injecter une dose lorsqu’il a été interpellé.
La 3-MMC, connue aussi sous le nom de 3-méthylmethcathinone, est une drogue stimulante, apparentée à la mephedrone, et souvent utilisée comme alternative légale à l’ecstasy. Ses effets secondaires peuvent inclure des comportements sexuels compulsifs et une diminution de l’inhibition, qui pourraient expliquer l’état du directeur lors de son interpellation.
Conséquences pour l’école
Suite à cette affaire, le directeur a été placé en garde à vue et une enquête est actuellement en cours. Le diocèse de Paris a également été notifié de l’incident et discute des mesures à prendre pour l’école.
Les parents d’élèves ont exprimé leur indignation face à ce scandale, insistant sur la nécessité d’un environnement sûr et mettant en question la compétence et la moralité de la direction de l’école. Certains ont exprimé leur intention de retirer leurs enfants de l’établissement, tandis que d’autres appellent à une révision complète du personnel et des procédures de l’école.
Cette affaire remet en question, une fois de plus, la sécurité des enfants dans les établissements scolaires et le choix des personnes responsables de leur éducation.
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