Rejoignez-nous
Divers

Spotify commence à cacher les paroles des chansons derrière un paywall

Pierre

Date de publication :

le

Spotify commence à cacher les paroles des chansons derrière un paywall

Pas de paroles pour vous (sauf si vous payez).

Le niveau gratuit de Spotify vient de devenir un peu pire.

La société a récemment ajouté une autre fonctionnalité populaire derrière son paywall Spotify Premium : les paroles des chansons. Comme l'ont remarqué de nombreux utilisateurs sur Reddit (via Android Authority), pour voir les paroles des chansons, vous devez désormais disposer d'un abonnement Spotify Premium, qui commence à 10,99 $ (5,99 $ pour les étudiants).

Certains utilisateurs signalent que les paroles des chansons ne sont pas totalement indisponibles dans l'offre gratuite ; au lieu de cela, il existe une limite mensuelle sur les paroles pour les abonnés non-Premium.

Le niveau gratuit de Spotify ne coûte rien, mais il contient des publicités et ne permet pas aux utilisateurs de télécharger ou de lire des chansons dans n'importe quel ordre, entre autres limitations. D'un autre côté, la société a également augmenté les prix de ses niveaux d'abonnement Premium, des rapports affirmant que cela deviendra encore plus cher cette année.

À titre de comparaison, Apple Music n'offre pas de niveau gratuit, et Tidal non plus (il y avait autrefois un niveau Tidal gratuit, mais il a été récemment annulé). YouTube Music propose un niveau gratuit, et il est à bien des égards moins restrictif que celui de Spotify et inclut la possibilité de voir les paroles des chansons.

Pierre, plus connu sous son pseudonyme "Pierrot le Fou", est un rédacteur emblématique du site Indigo Buzz. Originaire d'une petite ville du sud-ouest du Gers, cet aventurier des temps modernes est né sous le signe de l'ombre en 1986 au sommet d'une tour esotérique. Élevé dans une famille de magiciens-discount, il a développé un goût prononcé pour l'excentricité et la magie des mots dès son plus jeune âge. Pierre a commencé sa carrière de rédacteur dans un fanzine local dédié aux films d'horreur des années 80, tout en poursuivant des études de communication à l'Université de Toulouse. Passionné par l'univers du web, il a rapidement pris conscience de l'impact du numérique et des réseaux sociaux sur notre société. C'est alors qu'il a décidé de troquer sa collection de cassettes VHS contre un ordinateur flambant neuf... enfin presque.