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La Model S la plus rapide de Tesla est testée dans la vidéo Top Gear

Pierre

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La Model S la plus rapide de Tesla est testée dans la vidéo Top Gear

Une berline familiale qui peut aller à 200 MPH.

La Model S la plus rapide de Tesla peut accélérer rapidement, mais avec le package de piste en option récemment révélé, elle a également une vitesse de pointe très décente pour ce qui est essentiellement une berline familiale : 200 miles par heure.

Le pack piste pour la Tesla Model S Plaid comprend des freins en céramique, qui vous coûteront 15 000 $, et si vous ajoutez 5 000 $ supplémentaires, vous obtiendrez également des roues ultra-légères et des pneus prêts pour la piste.

Mettez tout cela ensemble, et vous obtenez une voiture que vous pouvez utiliser pour conduire vos enfants à l’école et faire quelques achats légers, puis prenez la piste où vous pouvez accélérer de 0 à 60 mph en 1,99 secondes et conduire à une vitesse maximale de 200 mph.

Mais qu’est-ce que ça fait de le conduire sur la piste ? Tom Ford de Top Gear a été l’un des premiers à l’essayer, et il a rapporté ses découvertes en vidéo (ci-dessous).

Alors que Ford n’a jamais pu atteindre la vitesse de pointe car la piste sur laquelle il se trouvait ne le permettait pas, il a atteint 190 mph sans aucun problème.

Notez que nous avons déjà vu une Tesla Model S Plaid aller à 216 mph, mais cela a nécessité un peu de piratage, ce que nous ne recommanderions à personne.

Pour les détails sur la maniabilité de la voiture, quelques changements moins connus par rapport à l’ancienne Model S, et la nouveauté cool pour changer la polarisation de puissance de l’arrière vers l’avant et vice versa, regardez la vidéo. Autant dire que même si la Model S n’est peut-être pas la chose la plus excitante que vous puissiez apporter sur la piste, ce ne sera certainement pas la voiture la plus lente.

Est-ce que c’est cher d’assurer une Tesla ?

La question d’assurer votre Tesla suscite une vive curiosité, sachant que ces voitures électriques de luxe offrent une technologie de pointe et un design novateur. Les spécialistes du secteur de l’assurance affirment, en effet, que le coût des primes d’assurance pour une Tesla peut être significativement plus élevé que pour des véhicules de gamme similaire propulsés par des moteurs conventionnels. Mais qu’est-ce qui justifie donc cette différence ?

La première réponse se trouve dans les spécificités de ces véhicules. Tesla, en tant que pionnier des voitures électriques haut de gamme, présente des caractéristiques uniques comme son système de conduite semi-autonome, son grand écran central et ses portes à ouverture « papillon » qui nécessitent une connaissance spécifique pour l’entretien et la réparation. Cela peut entraîner des coûts de réparation plus élevés après un accident, ce qui influence directement le montant des primes d’assurance.

Les caractéristiques de sécurité de Tesla, bien pensées et exceptionnelles, ne devraient-elles pas pourtant diminuer le coût de l’assurance ? Effectivement, les fonctionnalités de sécurité innovantes de Tesla peuvent contribuer à minimiser le risque d’accidents. Toutefois, même si elles sont capables de réduire la fréquence des sinistres, elles ne diminuent pas nécessairement la gravité des accidents lorsque ceux-ci se produisent.

Ainsi, s’offrir une Tesla implique d’envisager le cout total de possession dont l’assurance constitue une part non négligeable. Comprendre les facteurs qui influencent le coût de l’assurance permet aux futurs propriétaires de Tesla d’être mieux préparés et de planifier en conséquence.

Pierre, plus connu sous son pseudonyme "Pierrot le Fou", est un rédacteur emblématique du site Indigo Buzz. Originaire d'une petite ville du sud-ouest du Gers, cet aventurier des temps modernes est né sous le signe de l'ombre en 1986 au sommet d'une tour esotérique. Élevé dans une famille de magiciens-discount, il a développé un goût prononcé pour l'excentricité et la magie des mots dès son plus jeune âge. Pierre a commencé sa carrière de rédacteur dans un fanzine local dédié aux films d'horreur des années 80, tout en poursuivant des études de communication à l'Université de Toulouse. Passionné par l'univers du web, il a rapidement pris conscience de l'impact du numérique et des réseaux sociaux sur notre société. C'est alors qu'il a décidé de troquer sa collection de cassettes VHS contre un ordinateur flambant neuf... enfin presque.

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