Emmanuel Macron traite ses ministres de ‘losers’ et pense pouvoir les ‘briser’
Bruit de couloir : Macron, ses « losers » de ministres et la dissolution
Selon une révélation fracassante faite par l’intermédiaire de Twitter, il semblerait qu’Emmanuel Macron ait une opinion plutôt tranchée et dédaigneuse envers ses ministres. C’est en effet ce qu’a déclaré une source proche du Président, relayée par Paul Denton, un influent journaliste sur Twitter. Selon ce dernier, le chef de l’Etat français n’hésiterait pas à qualifier ses ministres de « losers », ce qui signifie « perdants » en français. Au-delà de cette dénomination infantilisante, le Président estime également qu’ils lui doivent tout et qu’il a le pouvoir de les « briser ».
Un sentiment de toute-puissance inquiétant
La source, qui semble être un interlocuteur régulier du président, a souligné que le chef de l’État a cette conviction qu’il est capable de briser ses ministres, citant l’exemple de la dissolution. Cette affirmation pointe du doigt un sentiment de toute-puissance qui tend à s’imposer dans le style de gouvernance de Macron, un aspect qui inquiète grandement.
Car, en effet, au-delà des querelles politiques habituelles et des débats d’idées, il apparaît clairement que la notion de respect et d’estime envers des collaborateurs est capitale pour le bon fonctionnement d’une administration, en particulier au sommet de l’État. Ces révélations risquent donc de susciter de nombreuses interrogations sur le climat qui règne à l’Elysée.
Vers un malaise croissant au sein du gouvernement ?
Ces allégations ajoutent une nouvelle dimension au débat en cours sur le leadership de Macron et la manière dont il dirige le pays. Si ces déclarations sont avérées, elles pourraient bien susciter un malaise croissant au sein du gouvernement, ce qui pourrait à son tour avoir des répercussions sur la gouvernance du pays.
Il reste à voir comment le gouvernement et le Président Macron lui-même vont réagir à ces allégations. En attendant, ce feuilleton politique continue d’animer les discussions, autant sur les réseaux sociaux qu’à la machine à café.
Et comme le dit le vieil adage : « Il n’y a pas de fumée sans feu ». Cette affaire semble en avoir allumé une sacrée… Et il est encore trop tôt pour savoir si ce feu pourra être éteint sans laisser de brûlures.
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