Rumeur sur la PS6 : Intel aurait rejeté la proposition pour la console de nouvelle génération — voici pourquoi
Sony ne veut pas risquer de perdre la compatibilité descendante.
L'annonce de la PS5 Pro de Sony n'a pas vraiment fait grand bruit, mais plutôt un flop. Avec un accueil mitigé de la part des acheteurs potentiels, il est clair que l'attention se porte déjà sur ce que la PS56 pourrait apporter.
Selon un rapport de Reuters, AMD s'engage une fois de plus dans la conception de la puce de nouvelle génération pour la prochaine console de Sony.
Un rapport exclusif révèle pourquoi AMD a été choisi plutôt qu'Intel pour concevoir la puce de la prochaine PS6 de Sony. La raison principale ? La rétrocompatibilité. Des sources proches de la décision ont révélé que garantir une expérience de jeu fluide entre la PS6 et son prédécesseur était une priorité absolue pour Sony, une chose que l'entreprise ne veut pas gâcher après les faux pas passés.
Retour en 2013 : à la sortie de la PS4, l'absence de rétrocompatibilité native avec la PS3 a été une énorme déception pour les fans. Sony a résolu ce problème avec la PS5, et il semble que l'entreprise soit déterminée à maintenir cette bonne volonté à l'avenir.
Si l'accord avec AMD semble récent, des sources internes ont indiqué à Reuters que l'accord était en vigueur depuis au moins 2022. Les tensions entre Sony et Intel seraient dues à des différends sur le partage des bénéfices, Intel souhaitant une plus grande part par puce vendue. Interrogé sur ces négociations, un porte-parole d'Intel a refusé de commenter les discussions avec Sony, mais a rejeté l'argument selon lequel Intel n'aurait pas réussi à remporter le contrat.
Un accord à long terme avec Sony aurait pu rapporter plus de 30 milliards de dollars aux caisses d'Intel s'il avait été conclu. Mais au final, la relation établie entre AMD et Sony, ainsi que son expérience dans la conception de puces pour la Xbox de Microsoft, ont probablement facilité la décision de Sony de s'en tenir à la valeur la plus sûre.