Choc à Gaza : plus de 10.000 Palestiniens tués dans 4 semaines de bombardements
Le bilan de l’offensive israélienne à Gaza s’aggrave
Suite à quatre semaines de bombardements ininterrompus à Gaza, le ministère de la Santé palestinien a révélé une statistique révélatrice du véritable coût humain de la confrontation. Selon le ministère, au moins 10 022 Palestiniens ont été tués, dont plus de 4 100 enfants et 2 600 femmes. En plus, près de 25 408 personnes ont été blessées.
Le bilan s’aggrave jour après jour, témoignant de la brutalité de la guerre qui sévit entre les forces armées de l’État d’Israël et les factions militantes à Gaza. Les civils, y compris les femmes et les enfants, paient un lourd tribut des hostilités incessantes.
Des infrastructures civiles sous le feu continu des bombardements
En plus de l’impact de ces bombardements sur la population civile, l’infrastructure de la région a également été gravement touchée. Des écoles, des hôpitaux, des maisons et des bâtiments publics ont été réduits en décombres, exacerbant la crise humanitaire déjà en cours. Le manque d’infrastructures efficaces pour protéger les civils des bombardements rend la situation encore plus délicate.
Le ministère de la santé de Gaza a averti que la crise humanitaire dans la région menaçait de se transformer en catastrophe, avec le système de santé déjà surchargé et en manque de ressources en lutte pour répondre à la montée des victimes et des blessés.
Plaidoyer international pour l’arrêt des violences
Alors que le bilan ne cesse de s’alourdir, la communauté internationale reste divisée sur la façon de répondre à la situation. Plusieurs pays et organisations mondiales ont, cependant, appelé à un cessez-le-feu immédiat.
Le Secrétaire général des Nations Unies a exprimé sa profonde préoccupation face à la poursuite des hostilités et a exhorté toutes les parties à prendre des mesures immédiates pour mettre fin aux combats et respecter le droit international humanitaire. Pour l’heure, aucun signe de répit n’est prévisible, et les civils continuent de payer le prix fort.
https://twitter.com/Mediavenir/status/1721524765607780463