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Le vaisseau spatial Mars prend une vue magnifique sur les volcans martiens – et une surprise

Pierre

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Le vaisseau spatial Mars prend une vue magnifique sur les volcans martiens – et une surprise

Une vue martienne fascinante.

Quelle vision extraterrestre.

Le Mars Express Orbiter, un vaisseau spatial de l’Agence spatiale européenne (ESA) qui a survolé Mars pendant plus de deux décennies et a récemment éclipsé 25 000 orbites, a capturé une image très détaillée de la planète rouge. Et parmi les volcans géants martiens se trouve une surprise.

« La vue imprenable montre des volcans, des vallées, des cratères, des nuages ​​et même une visite aérienne de la plus grande lune de Mars, Phobos », a écrit l'ESA.

Voici ce que vous voyez dans la vue de l’espace ci-dessous :

– Olympe Mons : Le plus grand renflement en haut à gauche est l’Olympus Mons, le plus grand volcan de notre système solaire. Il a à peu près la même taille que l'Arizona et atteint une hauteur énorme de 16 miles (25 kilomètres). (Le mont Everest mesure 5,5 miles de haut.)

– Trio volcanique : Au-dessous d'Olympus Mons se trouve une ligne de trois volcans tout aussi colossaux : Ascraeus Mons, Pavonis Mons et Arsia Mons. Ce sont des volcans boucliers, qui ont tendance à ne pas être explosifs. Au lieu de cela, la lave suinte des bouches d’aération, se superposant progressivement sur des éternités et créant une pente douce. En fin de compte, ils produisent un relief semblable à un bouclier posé sur le dos.

– D'innombrables cratères : Mars est entièrement recouverte de cratères. Scannez simplement la surface. La planète rouge est proche de la ceinture d'astéroïdes de notre système solaire, une région regorgeant de millions d'astéroïdes. Lorsqu'elles entrent en collision avec Mars, l'atmosphère martienne n'a qu'une densité de 1 % de celle de la Terre, ce qui signifie que ces roches spatiales sont moins susceptibles de chauffer et de se désintégrer. De plus, Mars n'est pas complètement morte géologiquement – ​​des tremblements de terre s'y produisent fréquemment – ​​mais il n'y a pas assez d'activité géologique et de volcanisme pour emporter ou recouvrir de nouveaux cratères (comme sur Terre).

– Nuages ​​martiens : Aux deux pôles, au-dessus et au-dessous de l’image, vous pouvez observer de vastes régions de couverture nuageuse. Sur Mars, les nuages ​​sont constitués de glace d’eau et de glace de dioxyde de carbone.

– La lune Phobos : Vous pouvez voir Phobos, la lune sombre et déformée de Mars, en bas à gauche, en orbite au-dessus de la planète rouge. Il est relativement petit et pas trop massif, son côté le plus long mesurant seulement 27 kilomètres de long. « Phobos est trop léger pour que la gravité puisse le rendre sphérique », explique l'Agence spatiale européenne. De plus, il a été frappé à maintes reprises par de puissantes roches spatiales. « Phobos a été presque brisé par un impact géant et présente des entailles causées par des milliers d'impacts de météorites », a noté la NASA.

Une vue rapprochée de Phobos en orbite autour de Mars.

Aujourd’hui, ce grand désert martien est irradié et profondément sec : Mars a en grande partie perdu son atmosphère, ce qui en fait un monde désertique extrêmement sec. Mars est 1 000 fois plus sec que le désert le plus sec de la Terre.

Pourtant, Mars était autrefois une planète humide, avec des inondations jaillissantes et de vastes lacs. La planète aujourd’hui désertique aurait pu autrefois abriter une vie primitive. Les rovers de la taille d'une voiture de la NASA recherchent des indices sur des organismes passés – bien qu'il n'y ait toujours aucune preuve que la vie ait jamais évolué sur la surface martienne.

Pierre, plus connu sous son pseudonyme "Pierrot le Fou", est un rédacteur emblématique du site Indigo Buzz. Originaire d'une petite ville du sud-ouest du Gers, cet aventurier des temps modernes est né sous le signe de l'ombre en 1986 au sommet d'une tour esotérique. Élevé dans une famille de magiciens-discount, il a développé un goût prononcé pour l'excentricité et la magie des mots dès son plus jeune âge. Pierre a commencé sa carrière de rédacteur dans un fanzine local dédié aux films d'horreur des années 80, tout en poursuivant des études de communication à l'Université de Toulouse. Passionné par l'univers du web, il a rapidement pris conscience de l'impact du numérique et des réseaux sociaux sur notre société. C'est alors qu'il a décidé de troquer sa collection de cassettes VHS contre un ordinateur flambant neuf... enfin presque.