Les paroles de ‘Midnights’ qui crient ‘écrites par Taylor Swift’
« Je regarderai directement le soleil, mais jamais dans le miroir. » Aie!
Bébé, réveille-toi ! #TS10 est là, et Taylor Swift reste notre Shakespeare des temps modernes. Ses accroches accrocheuses et ses tournures de phrases créatives et lyriques semblent toujours se frayer un chemin dans notre langue vernaculaire (voir: « Triste, beau, tragique » et « désinvolte cruel »). Elle continue d’évoluer musicalement, mais on peut toujours compter sur elle pour des paroles poignantes que seul Swift peut écrire. Articuler de manière experte les minuties négligées de la vie quotidienne et les pensées intérieures d’un millénaire est son style de signature.
Midnights regorge de ces moments intimes. Ils couvrent toute la gamme des trois catégories de chansons de Swift, décrit le mois dernier dans son discours d’acceptation de l’auteur-compositeur-artiste de la décennie aux Nashville Songwriter Awards – les chansons énergiques et pas trop sérieuses « stylo gel scintillant » ; les histoires poétiques et personnelles des chansons de « stylo plume » ; et les chansons à la plume à l’ancienne et transportantes.
Mais certains se démarquent des autres comme étant tellement Taylor. Des points bonus ont été attribués pour ses points forts : des paroles autoréférentielles, des paroles qui mentionnent une couleur ou une heure de la journée, des paroles qui mentionnent des chats, des paroles qui mentionnent New York et des paroles sur sa muse principale, Joe Alwyn.
Voici le top 10 des paroles les plus typiques de « Taylor » sur Midnights :
« Et je t’ai perdu. Celui avec qui je dansais à New York. Pas de chaussures. » – « Marron »
Coup double dans cette ligne de « Maroon » avec à la fois une mention new-yorkaise et une allusion à danser avec votre bien-aimé. Sans oublier le détail très Swiftien du « pas de chaussures ».
« J’ai cueilli les pétales. Il ne m’aime pas. Quelque chose de différent a fleuri, écrit dans ma chambre. » – « Tu es tout seul, gamin »
C’est en lice pour les meilleures paroles de l’album. Un résumé en trois lignes de sa carrière et une ode à son histoire d’origine, tout en utilisant de belles images florales.
« Mon garçon était un montage – un philtre d’amour au ralenti. » – « Pluie de minuit »
Ajoutez cela au Taylor Swift Hall of Fame des métaphores décrivant les hommes qu’elle aime.
« Parce que je ne me souviens pas qui j’étais avant que tu ne peignes toutes mes nuits d’une couleur que j’ai recherchée. » – « Question…? »
Swift fait excellemment de grandes déclarations d’amour et son impact sur sa vision du monde, et elle aime particulièrement utiliser les couleurs et la peinture comme métaphore pour dépeindre ce changement cosmique.
« Dessinez l’œil du chat, assez pointu pour tuer un homme. » – « Merde de justicier »
Les premières lignes de « Vigilante Shit » sont la quintessence de Taylor de l’ère de la réputation et font un clin d’œil à son style de maquillage incontournable. Le rouge à lèvres est sous-entendu.
« Alors mets-moi au sous-sol, quand je veux le penthouse de ton cœur. – « Paré de bijoux »
Le bonheur et le conflit domestiques sont toujours un thème dans la musique de Swift, que ce soit littéralement ou le plus souvent, métaphoriquement. Faire de cette métaphore de la maison un appel à l’amour inconditionnel adressé à votre beau ? C’est une ligne Swift primée !
« Karma est un chat qui ronronne sur mes genoux parce qu’il m’aime. » – « Karma »
Meredith, Olivia et Benjamin le savent le mieux. S’il y a une chose que Swift va faire, c’est nous rappeler qu’elle est une fière dame aux chats !
« Spider boy, roi des voleurs, tisse tes petites toiles d’opacité. » – « Karma »
Ça donne « Mean ». Il donne « Roi de mon coeur ». Ça donne « The Archer ». Cela donne le meilleur du lyrisme à Swift.
« Je ne suis énigmatique et machiavélique que parce que je m’en soucie. » – « Cerveau »
Les Swifties sortent à nouveau leurs dictionnaires pour cette chanson « à la plume d’oie » qui combine son amour pour le vocabulaire obscur et un clin d’œil ludique à l’auditeur.
« Siroter tranquillement à mes côtés à l’ombre. Et pas le genre qu’on jette, je veux dire, le genre sous lequel un arbre a poussé. – « Paris »
Ce lyrique est un trifecta de Taylor: langage végétal romantique, rappel des paroles antérieures sur la définition culturelle de « l’ombre » (« Vous devez vous calmer ») et boire.